Médiations - Informations - Communication - Arts

Doctorant

  • Sujet de thèse : l’Art de la rivière, de la source à l’océan : l’Eco-philosophie, l’éco-féminisme, l’art écologique

  • Directeur de thèse : M. Bernard Lafargue
  • Axe : Art, Design, Scénographie figures de l’urbanité (ADS)
  • Discipline : Arts (Histoire, Théorie, Pratique)
  • 1ère inscription en thèse : 2018
  • Contact : deborah.bowman@free.fr

    Thèmes principaux de recherche :

    • l’Art de la rivière
    • Art + Science
    • l’Itinérance, la marche, l’immersion dans l’environnement naturel
    • Biotopes des sources, des lavoirs, des rivières, des zones humides
    • Art écologique engagé (Eco-art)
    • Eco-féminisme ; Esthétique féministe
    • Esthétique aquatique, animale, végétale
    • Ecosophie ; Eco-philosophie ; Deep Ecology
    • Globalisation de l’art
    • « Urban Trek », la randonnée artistique urbaine

    Activité d’enseignement

    • Chargée d’enseignement, Arts plastiques, Master Recherche, Master Pro AIPAAS

    Autre

    • Artiste, Maison des Artistes
    • Luna Garona, 1% Art public, Collège Léonard Lenoir, Bordeaux ;
    • Acquisitions : 5 œuvres, dont Biotope : Zones Humides, Collection Départementale et Artothèque du Conseil Général de la Gironde ; Membre du jury, DRAC Aquitaine ; Curator des expositions collectives : Paysage(s) ; Animal ; Habit’Abris ;

    Retrouver une présentation de l’artiste sur la page de L’Enquête des sens.


juin 2024
Communication

« L’éco-féminisme locale en paroles et en actes », petit déjeuner thématique, 12 juin, 2024.

Organisé par la MNE Maison de la Nature et de l’Environnement, Bordeaux-Aquitaine (https://www.mne-bordeauxaquitaine.org/les-projets-en-cours/programmation-2024/petits-dejeuners-th%C3%A9matiques)

Coordonnatrice : Orianne Pascal

Chercheuses invitées :

  • Deborah Bowman, eco artiste et doctorante en art à l’Université Bordeaux Montaigne MICA ADS, parle de ses projets d’art éco-féministe employant la démarche d’immersion dans le territoire ;
  • Maureen Bal, doctorante en science politique à l’IRM de l’Université de Bordeaux – sur « Les impensées de l’éco-féminisme : étude comparative »

Projection de la vidéo Ice Book de Deborah Bowman

suivant le petit déjeuner thématique sur l’écoféminisme, MNE Bordeaux-Aquitaine, 12 juin, 2024.
Ice Book : Dordogne River : Lunaria, 4 min., 2021.
Une vidéo et action artistique écologique de Deborah Bowman

Un exemple de l’art éco-féministe à la fois international et régionale, en forme d’une action artistique pour la biodiversité de Deborah Bowman. Réalisation d’un « Ice Book / Livre de glace » de l’eau de rivière gelée avec l’incrustation des graines de Lunaria annua, ou monnaie de pape, plante endémique. Suite à la recherche approfondie sur l’écosytème aquatique de la Dordogne, cet Ice Book est lancé par l’artiste dans la rivière à Ste Foy la Grande. Les graines de Lunaria, libérées de la glace, se dispersent sur les rives et prennent racine, enrichissant ainsi la biodiversité de l’écosystème riparien. Une action artistique de la collective internationale Ice Books sur l’invitation de Basia Irland, eco artiste américaine.

A NOTER : Pour programmer une projection du vidéo Ice Book : Lunaria, contacter l’artiste (coordonnées en haut de la page).


mai 2024

« Fresque de l’eau », La Maison Rêvée, Bordeaux. Photo © La Maison Rêvée

Artiste invitée, « Fresque de l’eau », le 25 mai, 2024

La Maison Rêvée, Bordeaux

Organisation et animation : Sylviane Kopp, Cheffe du projet du Comité Départemental de l’Eau, Direction de la Valorisation des Ressources et des Territoires, Conseil Départemental de la Gironde

Invitées : Deborah Bowman et Patrik Marty, artistes chercheurs

Un atelier ludique et participatif qui permet de construire une vision globale du cycle de l’eau, des enjeux liés à l’eau, sa disponibilité et ses usages, ainsi que l’impact des activités humaines et le changement climatique ; le tout basé sur des sources scientifiques.


PHOTO © DEBORAH BOWMAN 2023

mars 2024
Communication :

« Art & écologie. Duo souhaitable ? Duo possible ? », petit déjeuner thématique, MNE Bordeaux-Aquitaine, 26 mars, 2024.

Organisé par les étudiants de l’IUT Bordeaux Montaigne, CoMediA Conception des projets et médiation artistique et culturelle, en coordination avec la MNE, la Maison de Nature et Environment, Bordeaux-Aquitaine.

Communication des artistes invitées :

  • Deborah Bowman, artiste chercheuse en art écologique, partage son expérience des projets Ice Book : Dordogne River : Lunaria et Sources – Fontaines – Lavoirs.
  • Patrik Marty, sculpteur et Docteur en Art, auteur du livre l’Eau de l’art contemporain, un dynamique d’une esthétique écosophique, présente des artistes de l’art écologique.
    www.editions-harmattan.fr/l’eau_de_l’art_contemporain
    www.mne-bordeauxaquitaine.org

janvier 2024
Publication :

Deborah Bowman, « Two Beech Trees – Deux Hêtres », watercolor on Fabriano archival paper, 20 x 20 cm, Lunar Calendar 2024, Luna Press, Boston, Massachusetts, USA, 2023.

As part of my research on ecological art, I studied beech trees and their essential role in the biodiversity of the mountain forest ecosystem. The results of my research as well as the creation of the painting is explained in my article, “The Story of a Painting: Celebrating the Full Moon, Beech Trees and the Mountain Ecosystem.” (See pdf below)


septembre 2023

Projet Art + Science : Sources – Fontaines – Lavoirs

PHOTO © DEBORAH BOWMAN 2023

Deborah Bowman, page du catalogue Jours de Lumière 2023.

Jours de Lumière 2023
Festival biennale internationale de l’art contemporain, sur le thème de l’eau, St Saturnin, Puy de Dôme, Auvergne, 21-23 septembre, 2023

Artistes invités Deborah Bowman et Patrik Marty :

Sources – Fontaines – Lavoirs, une œuvre écologique in situ en trois parties, accompagnée par trois résidences d’artiste sur place en 2022-2023 :

  • Installation in situ extérieure au Lavoir de la Freydière
  • Exposition intérieure, à la Maison des Archers, St Saturnin
  • Conférence de Deborah Bowman : « Sources – Fontaines – Lavoirs : de la mémoire collective au renouvellement de la biodiversité ».

Une œuvre Art + Science, avec la participation de : Aurélien Mathevon, Technicien des rivières, biologiste, SMVVA, St Saturnin ; et le naturaliste Jean-Pascal Hamard.

Assistante : Mouna Ennouri, Doctorante à l’Université de Sfax, Tunisie, en séjour de recherche avec Deborah Bowman à l’Université Bordeaux Montaigne, MICA ADS.

Voir : https://www.lesjoursdelumiere.com/festival-2023-1/echos-du-festival-2023


Deborah Bowman, « Source de montagne : Dor et Dogne », dessin et aquarelle sur papier

Deborah Bowman, « Lavoir d’Aubrac », installation dans le lavoir, photo numérique.

Sources – Fontaines – Lavoirs : de la mémoire collective au renouvellement de la biodiversité

Jours de Lumière – Festival d’Art Contemporain à Saint-Saturnin

Samedi 23 septembre – 17h30 – à Chadrat

Délaissés comme artéfacts villageois du petit patrimoine, visités par quelques classes scolaires et touristes égarés, laissés à sec pour éviter des procès contentieux… Les sources – fontaines – lavoirs sont en réalité des puissants  » marqueurs  » qui cristallisent l’eau sacrée et l’eau profane ; ils sont souvent au cœur des petites zones humides foisonnantes de biodiversité. Depuis que les artistes ont quitté l’atelier, comment conjuguer travail artistique et engagement écologique sur le terrain ? Je dirai par l’immersion : dans un site, dans la nature, dans des échanges avec habitants et scientifiques. Ici, on propose de mettre en lumière l’histoire de ces 3 points aquatiques, ainsi que quelques réflexions et expériences autour de ce projet artistique.

Conférence déambulatoire en plein air à partir du Bac-Lavoir de Chadrat, suivie par une discussion avec le public.


2023 Publication :

Deborah Bowman, « l’Art écoféministe : Un art activiste révolutionnaire », Figures de l’art 40 : L’Activisme artistique, Dir. Nicolas Nercam, PUPPA, 2023.

Résumé :

Les œuvres écoféministes mises en avant dans cet article sont tour à tour intimes et extimes, éphémères et pérennes, ancestrales et politiques. Elles nous invitent à repenser l’écoféminisme, longtemps cantonné aux marges du mouvement féministe pour l’appréhender en tant que philosophie, éthique et démarche artistique. Ce qui nous amènera à en conclure que les propositions de l’art écoféministe, tout particulièrement radicales, sont une figure majeure de l’activisme artistique de notre temps.

Ecofeminist Art: A Revolutionary Activist Art
Abstract :

The ecofeminist works highlighted in this article are by turns intimate and extimate, ephemeral and perennial, ancestral and political. They invite us to rethink ecofeminism, long confined to the margins of the feminist movement, in order to understand it as a philosophy, an ethic, and an artistic concept. This leads us to conclude that the proposals of ecofeminist art, particularly radical, are a major figure of the artistic activism of our time.

Mots-clefs : écoféminisme, art écologique, art féministe, art en commun, eco art
Keywords: ecofeminism, ecological art, queer ecology, feminist art, eco art

COMMANDER Figures de l’art N° 40 : l’Activisme artistique en cliquant ici : Librairie Vrin


2024
Publication in an exhibition catalogue :

35×35 Art Project France, international project catalogue and exhibition, permanent collection, Copelouzos Fondation Family Art Museum, Athens, Greece, 2023.


janvier 2023
Acquisition of a work of art :

Deborah Bowman, Full Moon on the Dordogne River, Homage to Georgia O’Keefe, oil paints on stretched linen canvas, 2023.
Permanent collection, as part of the international project 35×35 Art Project, Copelouzos Fondation Family Art Museum, Athens, Greece.

ARTWORK CONCEPT: Full Moon on the Dordogne River

In The Three Ecologies, philosopher Félix Guattari evokes “existential territories,” where nature is inseparable from culture in a transversal space of interdependence and complexity. In this painting, one senses the interaction of cosmic forces, water, and the life essence of the Dordogne River in southwestern France. Under the full moon, the serpentine river is alive with frog song, bird calls, and the ever-changing sound of flowing water. The watershed of the Dordogne River, UNESCO Biosphere and home to Paleolithic painted caves and historical chateaux, has recovered much of its biodiversity, as well as flourishing riparian zones that serve as “green corridors” for wildlife. The painting is also a homage to Georgia O’Keeffe, my first artistic inspiration and a precursor of ecological and feminist art.

CLICK HERE to download PDF.


2022-2023
Projet Art + Science : « Garonne et ses Trois Muses : les Sciences, les Arts et les Lettres

© Patrik Marty

Deborah Bowman, artiste invitée du projet « Garonne et ses Trois Muses : Science, Art, Littérature », en coordination avec Terre & Océan et les enseignants du Collège Léonard Lenoir, financé par le Conseil Départemental de la Gironde et de la Région Nouvelle Aquitaine. A l’occasion du Printemps des poètes 2023, un projet « renaissance » de la fresque 1% Artistique Luna Garona, 2000-2001, de Deborah Bowman, qui prolonge le concept de la fresque vers la biodiversité aquatique, la création artistique, la littérature occitane. Tout au long de l’année scolaire 2022-2023 : Conférences, interventions, sorties sur les rives de Garonne, créations et écrits des élèves, exposition.


avril 2021
Communication, colloque international

Colloque international : L’activisme artistique et la mondialisation de la scène de l’art, MICA ADS, CLIMAS, CEIAS, Université Bordeaux Montaigne, avril 2021.

Deborah Bowman, « L’écoféminisme et l’art écoféministe : Un art activiste écologique »


janvier 2021 – décembre 2021

Artiste invitée de l’exposition collective Art et sensibilisation écologique, dans le cadre de la manifestation transversale L’Enquête des Sens, Dealers de Science © 2022 L’Enquête des Sens ; Master Médiation de Science, Université de Bordeaux, Université Bordeaux Montaigne. https://www.lenquetedessens.dealersdescience.com/index.php/exposition-numerique-art-et-sensibilisation-ecologique/
Publication de l’entretien sur youtube.com : https://youtu.be/CLiqQpNswNk


septembre 2021
Publication, livre d’artiste

Deborah Bowman, « Memento mori : Le livre d’artiste, une transformation de l’être »

Retrouvez l’article sur le site de la revue ASTASA : https://www.astasa.org/2021/09/29/deborah-bowman-a-propos-de-memento-mori-le-livre-dartiste-une-transformation-de-letre/

RÉSUMÉ :

En forme d’extrait de mon livre d’artiste, cet article propose de démontrer comment des chroniques journalières écrites à la main et illustrées peuvent contribuer à la pensée artistique face à la pandémie.

En mars 2020, je me tourne vers l’écriture et le dessin pour m’exprimer : « Confinement… c’est l’emprisonnement, comme d’être en prison pour un crime commis – quoi – d’être humain ? Ou alors c’est une punition citadine, d’un crime capitaliste consumériste, contre la Nature. » En contrepartie de ces écrits délibérément non distanciés, j’ai replongé dans mes recherches sur la peste en Europe avec ses vagues successives, trouvant des réponses artistiques face à la mort, depuis Pieter Bruegel, en passant par William Blake, ainsi que des leitmotivs : la Danse macabre, le thème de Memento mori et de Vanitas, la Calavera mexicaine.1 D’autres lectures ont nourri mes dessins, dont les écrits de Michel Foucault sur la notion de « biopolitique » et la prison étatique qui doit Surveiller et punir.2 Comment analyser la signification du livre d’artiste face à une telle expérience, de « choc, d’incrédulité, de stupeur… » ? Ce moyen d’expression privilégié participe à la transformation de l’être, à partir des émotions jaillies de l’intérieur et saisies sur la page blanche, un miroir des états d’âme. Le théoricien David Kolb, héritier de John Dewey, nous propose la théorie de l’apprentissage expérientiel, où à partir de l’expérience vécue, de l’observation réfléchie, et d’analyse, des connaissances nouvelles sont créées par la transmutation de l’expérience.3

Deborah Bowman, “Memento Mori, The artists book, a transformation of being”

ABSTRACT :

In the form of an excerpt from my artist’s book, this article proposes to demonstrate how handwritten and illustrated daily chronicles can contribute to artistic thinking in the face of the pandemic.

In March 2020, I turned to writing and drawing to express myself: “Lockdown… is imprisonment, like being in prison for a crime committed – what – of being human? Or it is a city punishment, a consumerist capitalist crime, against Nature?” In return for these deliberately unconnected writings, I plunged back into my research on the plague in Europe with its successive waves, finding artistic responses to death, from Pieter Bruegel to William Blake, as well as leitmotifs: the Danse Macabre, the theme of Memento Mori and Vanitas, the Mexican Calavera.1 Other readings have inspired my drawings, including the writings of Michel Foucault on the notion of «biopolitics» and the state prison which must Surveiller et punir / Surveillance and Punishment, the title of his book on the subject.2 How to analyse the meaning of the artist’s book in the face of such an experience of “shock, disbelief, stupor…”? This privileged means of expression participates in the transformation of the being, from the emotions surging from within and captured on the blank page, a mirror of the states of the soul. Theorist David Kolb, heir to philosopher John Dewey, offers us the theory of “experiential learning,” where from lived experience, thoughtful observation, and analysis, new knowledge is created through the transmutation of experience.3

 

1# Calavera designe en espagnol un crâne humain, une « tête de mort », ou alors un squelette, tous emblématiques du Jour des morts dans l’art populaire mexicain.
Deborah Bowman, « l’Art en période de crise : Artistes et philosophes réagissent aux épidémies avec une nouvelle créativité », https://deborah-bowman.wixsite.com/artist
Sandrine Guignard, « La représentation de la mort dans l’art : Visions croisées de Goya, Munch, Bacon, Basquiat », https://la-philosophie.com/la-representation-de-la-mort-dans-lart-visions-croisees-de-goya-munch-bacon-basquiat
https://www.nationalgeographic.co.uk/history-and-civilisation/2019/10/la-catrina-dark-history-day-deads-immortal-icon
https://crane-faction.com/blogs/blog-tete-de-mort/tete-de-mort-mexique-calavera

3# David A Kolb, Experiential learning : experience as the source of learning and development, Prentice Hall, 1984. https://www.researchgate.net/publication/235701029_Experiential_Learning_Experience_As_The_Source_Of_Learning_And_Development


printemps 2021

Larry List, curator indépendant de New York City, intervient dans le cadre de l’axe ADS du MICA, avec la communication inédite

« Entering the Art World After Art School / Entrer dans le monde de l’art après le diplôme »



LARRY LIST, curator indépendant New Yorkais, “ live from New York “ !

Sur l’initiative de : Deborah Bowman, Chargée d’enseignement et doctorante à l’Université Bordeaux Montaigne, Master 1 et 2 Recherche et Pro AIPAAS

Finding a job in the art world after art school or university studies is often a difficult and frightening prospect. Where to start? How to conjugate making art and earning a living?

Larry List offers a wealth of ideas about how to coordinate one’s interests with the realities of the job market, plus art jobs that are little known to students and professionals alike. Drawing on forty years of experience in the New York art world, List debunks the clichés, and reveals unusual job-hunting strategies, giving real-life success stories. A “must-see” for any and all students about to enter the artistic job market !

Contact information : larrylist4123@gmail.com


printemps 2020
Entretien avec Larry List, independent curator

Larry List, « Personal History & Artistic Identity », Curator’s Talk, printemps 2020.

Sur l’initiative de : Deborah Bowman, Chargée d’enseignement et doctorante à l’Université Bordeaux Montaigne, Master 1 et 2 Recherche et Pro AIPAAS.

LARRY LIST, independent New York curator, explains how the personal history of well-known artists has influenced their artwork. From Barbara Kruger as advertising copywriter to Richard Serra working in the steel industry, List gives the little-known background story of artistic inspiration. Followed by an interview of Larry List by Deborah Bowman. A must-see for student and emerging artists, who will be inspired in turn to draw from their own life histories.

Retrouvez la vidéo sur : https://www.youtube.com/embed/BSd_IC2j5Ow
Watch the video on : https://www.youtube.com/embed/BSd_IC2j5Ow

Pour plus d’information, voir https://mica.u-bordeaux-montaigne.fr/events/ads-communication-larry-list-curator-independant-new-york-city/.


novembre 2016
Publication et communication

Deborah Bowman, « Urban Trek, la randonnée artistique urbaine : Réflexions, créations, expériences », Figures de l’art : l’Art des villes, Dir. Cecile Croce, PUPPA, 2016.

Voir : https://mica.u-bordeaux-montaigne.fr/events/presentation-de-l-ouvrage-l-art-des-villes/
Pour commander la revue : https://www.vrin.fr/livre/9782353110742/lart-des-villes


avril – octobre 2016
Installation d’art écologique in situ

Eau Botanique

Deborah Bowman et Patrik Marty, Eau Botanique, installation monumentale de 3m x 14m, Lavoir de Quinsac, Art & Paysage manifestation européenne, Dir. Stephanie Ventura, Curator Jacques Francheschini, avril – octobre, 2016.

PHOTO © CHRISTIAN CHADOURNE, EAGLE PHOTOGRAPHIE, 2017.

Le projet d’art écologique Eau Botanique, est une co-création avec le sculpteur et chercheur Patrik Marty, Docteur en Arts et membre associé du MICA ADS. Cette vidéo retrace l’histoire de l’oeuvre crée pour la manifestation Européenne Arts & Paysages, un chemin de randonnée de 15 km le long d’un ruisseau, jalonnée de 15 oeuvres monumentales. Eau Botanique matérialise neuf plantes endémiques phytofiltrantes, les dessins desquels sont gravés sur neuf cubes de marbre de Carrare, installés dans un lavoir à coté d’une source. Visible pendant six mois en 2016, cette oeuvre était vu par plus que 7,000 personnes.


Recherches & Educations

The Mountain Refuge: Figure of Resistance, Space of Immersion, Heterotopy in the Woods, n°1/4

Deborah A. Bowman
See above for Resumé and Bibliography

To quote this article: Electronic reference

Deborah A. Bowman, “The Mountain Refuge: Figure of Resistance, Space of Immersion, Heterotopy in the Woods,”, n°1/4, Recherches & Educations [Online], HS | Juillet 2020. URL : https://journals.openedition.org/rechercheseducations/9158 ; DOI : https://doi.org/10.4000/rechercheseducations.9158


Recherches & Educations

Le refuge de montagne : Figure de résistance, espace d’immersion, hétérotopie dans les bois, n°1/4

Deborah A. Bowman
Voir plus haut pour résumé et bibliographie

Pour citer cet article : Référence électronique

Deborah A. Bowman, « Le refuge de montagne: Figure de résistance, espace d’immersion, hétérotopie dans les bois », n° 1/4, Recherches & Educations [Online], HS | Juillet 2020. URL : https://journals.openedition.org/rechercheseducations/9158 ; DOI : https://doi.org/10.4000/rechercheseducations.9158


Recherches & Educations

The Mountain Refuge : Figure of Resistance, Space of Immersion, Heterotopia in the Woods – n°2/4

Deborah A. Bowman

Abstract

This article attempts to understand how Foucault’s concept of heterotopia contributes to the thought of this other space, the « situated utopia » that is the mountain refuge, in other words, a primitive cabin at a high altitude. The articulation with the first meaning of the word refuge – from the Latin refugium, « action of retreat, » « flight, » « asylum, » as a shelter where one is protected when faced with danger – raises underlying questions concerning the Anthropocene. In the form of a hand-written and illustrated artists book, the second of four installments, these pages were written at an altitude of 3600 ft on the Arize mountain range, in the Natural Regional Park of Ariège in the Pyrénées Mountains. This is an immersion in the wilderness, the habitat of « apex predators » lynx and bear, as well as a refuge for other endangered species, amidst a wealth of biodiversity. The mountain refuge possesses an evocative poetic power that is infinitely varied (Brun); simultaneously, it represents a figure of resistance (Montvalon), as well as a concrete and activist response to the ecological emergency of the Anthropocene (Bowman). With no electricity, water from a natural source, and accessible only on foot, the mountain refuge signifies not only shelter, but also « A space in the wilderness, a capsule for Time Travel, an abode in a Simpler Life. » (Bowman

Bibliography

 

To quote this article: Electronic reference

Deborah A. Bowman, « The Mountain Refuge : Figure of Resistance, Space of Immersion, Heterotopia in the Woods », n° 2/4, », Recherches & éducations [En ligne], 23 | 2021. URL : http://journals.openedition.org/rechercheseducations/12147 ; DOI : https://doi.org/10.4000/rechercheseducations.12147


Recherches & Educations

Le refuge de montagne : Figure de résistance, espace d’immersion, hétérotopie dans les bois – n°2/4

Deborah A. Bowman

Résumé

Cet article essaie de comprendre comment le concept d’hétérotopie de Foucault peut contribuer à penser le rôle de cet espace autre, « l’utopie située » dans ce cas précis le refuge de montagne, c’est à dire, une cabane primitive en altitude. L’articulation avec le premier sens du mot refuge, du latin refugium « action de se retrancher », « fuite », « asile », en tant que lieu où l’on se met en sûreté face au danger, soulève des questions sous-jacentes concernant l’Anthropocène. En forme de livre d’artiste, manuscrit illustré, le deuxième de quatre volets, ces pages ont été écrites à 1.200 m d’altitude sur le Massif de l’Arize, dans le Parc Naturel Régional d’Ariège dans les Pyrénées. C’est une immersion dans la nature sauvage, l’habitat des « prédateurs apex » lynx et ours, ainsi qu’un refuge pour d’autres espèces menacés, parmi une richesse de biodiversité. La cabane possède un pouvoir d’évocation poétique varié à l’infini (Brun) ; simultanément, elle représente une figure de résistance (Montvalon), ainsi qu’une réponse concrète et activiste à l’urgence écologique de l’Anthropocène (Bowman). Sans électricité, alimenté par l’eau de source, accessible seulement à pied, le refuge de montagne ne signifie pas seulement un abri, mais aussi « un espace dans le wilderness, une capsule pour voyager dans le temps, une demeure dans une vie plus simple » (Bowman).

Bibliographie

Voir au dessus.

Pour citer cet article : Référence électronique

Deborah A. Bowman, « Le refuge de montagne : Figure de résistance, espace d’immersion, hétérotopie dans les bois », n° 2/4, », Recherches & éducations [En ligne], 23 | 2021. URL : http://journals.openedition.org/rechercheseducations/12147 ; DOI : https://doi.org/10.4000/rechercheseducations.12147



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